Personne l’avait vu venir, tout le monde se foutait d’elle, pas au niveau qu'ils disaient. De connivence avec le prince consort qui a l’air de toucher à rien, elle a renvoyé les hommes d’expérience à leurs fourneaux sans que, jusqu’à la dernière minute, ils se rendent compte du saucissonnage ! De la belle ouvrage, Camarades !
P.S. Je lis le Canard Enchaîné depuis 50 berges. Ca ne rajeunit pas le volatile, ni moi non plus. La livraison du 15 novembre rapidement épuisée se revendait sous le manteau dès 18H. Il est vrai qu’entre les comptes japonais de qui-vous-savez et les allumés de Clearstream, elle valait son boisseau de littérature.
Dire que si on n’avait pas le Canard, on n’aurait pas de journaux en France.
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