A la mi octobre on est déjà à 32 000 voitures brûlées. Pur l’année, il y a bon espoir que l’on dépasse les 50 000 voitures brûlées en 2005, année de canicule sociale.
Faut relativiser, c’est pas le nombre qui augmente, c’est l’instrument de récolte statistique qui se perfectionne. Vu ?
C'est rasssurant, ya pas que les bagnoles qui partent en fumée ; Sur la même période on a répertorié 25 000 incendies de poubelles et biens publics divers.
C’est plus que dans toute l’Europe à 25 en un an.
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