Selon la presse, l’Angela Merkel avait tout pour faire pitié. Mal élue, mal fagotée, issue des friches prolétariennes et fille de pasteur. Une erreur, quoi. Elle n’aurait même pas été reçue à l’ENA.
En quelques semaines, elle tire les moustaches de Poutine, les bretelles du Texan et le sonotone du Chi, Villepin lui court après et elle incarne l’Europe.
Faut dire que question incarnation, entre la pelle de Cochin et le patriote économique, on n'est pas vraiment candidat.
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