Intéressant de voir l’affaire Léonarda initialement légale mais maladroite, policière et locale puis préfectorale et ministérielle remonter à toute vitesse jusqu’au plus haut sommet de l’état.
Du coup le Sommet a parlé, parlé pour ne rien dire et pour ne pas rien dire, pour ne pas choisir entre humanité et légalité, entre les pro et les anti, les gauchos et les fachos, pour faire plaisir à tout le monde, et a finalement et finement coupé la fillette en deux comme un salomon fumé.
Position éminemment courageuse qui a l’avantage d’entretenir le feu des illusions et des manœuvres politiciennes dont les ténors socialos au passage taclent la police pour son manque de discernement et jouent allègrement aux pompiers pyromanes et prolongent cette fausse mini-crise en une vraie farce de trouducs.
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