Certains des
retraits en liquide inexpliqués de la caisse noire de l'UIMM (16 millions entre 2000 et 2007) ont bien servi à
financer des syndicats. Denis Gautier-Sauvagnac, l'ancien patron de
l'organisation, l'a confirmé à la justice ce 14 octobre.
Personne n’a encore
osé ajouter que les chefs-syndicalistes eux-mêmes, non plus que les heureux
élus syndicaux mandatés pour recevoir les copieuses enveloppes sont d’une irréprochable intégrité et voué corps et âmes à la cause des travailleurs et du prolétariat.
C’est pourtant bien
connu.
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