Le projet de budget 2012 est bâti sur une hypothèse de croissance de 1,7%, autant dire qu’il s’agit d’une aimable plaisanterie pour le gogo électeur, une barouinade comme on dit dans les couloirs de Bercy, plus de maquillage que de cervelle.
Cela n’empêchait pas, hier soir, les candidats socialos de s’éclater dans la valse des millions et le Lépine de la démagogie. Grands classiques : les emplois aidés, le SMIC, les salaires des dirigeants, la fiscalité. Plus ça change...
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