Comme prévu, le parquet de Paris a requis, mardi 20 septembre, la relaxe de Chirac, jugé en son absence pour détournement de fonds publics lorsqu'il était maire de Paris en 1992-1995.
Grandiose la justice, pour autant que l'on puisse appeler justice un système qui exonère systématiquement les politiciens de leurs pillages à la face du monde et de l'électeur qui risque de s'en souvenir, comme les procureurs dont l'attitude plastique au procès fait l'admiration unanime de la presse...
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