De quelque coté qu’on la regarde, la gestion publique reste un fantastique sujet d’émerveillement.
D’après la mission sénatoriale qui vient de l’étudier, les trois maux de la formation professionnelle s’appellent la complexité, le cloisonnement, les corporatismes. Sic et toc.
La commission aurait pu ajouter quelques qualificatifs flatteurs vu que 25 à 30 milliards d'euros y sont consacrés chaque année : on imagine que le pactole n’est pas perdu pour tout le monde.
Voici le résumé du rapport. 4 petites pages pleines de sel.
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