vendredi, août 31, 2007

Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, bocsa de la verita

"Il faut supprimer les barrières qui existent dans différentes professions réglementées. On va aller encore plus loin : il faut mettre fin à des rentes de situation que rien ne justifie aujourd'hui. Le rapport Rueff-Armand donnait déjà l'exemple des taxis, que j'aime beaucoup, il y a moins de taxis aujourd'hui à Paris qu'en 1931 ! Il ne faut pas s'énerver, il faut juste réfléchir. Des pharmaciens, des notaires ou des avoués, et je vois immédiatement trembler : « Mon Dieu, vous allez vous mettre des gens à dos ! »
C'est de Sarkozy, Camarades, qui se met surement les notaires, pharmaciens et avoués à dos. Ca fait pas une grosse meute, Monsieur Malthus, et la majorité des pays de la planète survivent assez bien sans avoués ou notaires pour compliquer la vie, et avec des pharmaciens sans numerus clausus pour vendre les médicaments et, surtout, le reste.

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