mercredi, mars 21, 2007

Timeo candidati et ecologiam ferentes

Nicolas Hulot découvre qu’il s’est fait rouler dans la farine par les candidats. Tant de naïveté le rend touchant.
La planète peut attendre, cher Nicolas, si seulement vous m'aviez téléphoné, je vous aurais averti.
L’important pour l’heure, c’est la ligne droite finale vers le gros lot. On ne rigole plus avec les sujets mineurs. Il faut nourrir la horde qui piétine férocement derrière.
Alors le CO2, les particules du diésel, les pesticides, le réchauffement ça ne peut pas peser bien lourd face au poids des prébendes, sinécures, bénéfices et royalties en jeu.

Aucun commentaire: