Comme toujours et souvent, je vais aller voter.
Comme me le répètent à satiété les sondages, je suis indécis et versatile, l’âge, les voyages et la sagesse m’ayant appris depuis longtemps la vanité des idéologies et la perversité du vocabulaire (libéral est devenu une insulte)
Il est en effet difficile de choisir entre les trois candidats, les études de toxicité étant très incomplètes. Au-delà de l’empilement des promesses, de la valse des programmes, des entrechats philosophiques et des cabrioles sociâââles, la question est simple :
Qui empêchera la glissade (le mot déclin étant politiquement incorrect) vers l’abîme de la dette, l’obésité castratrice du secteur public et la rapacité accrue de nos élites de plus en plus autoproclamées ?
Qui a dit « personne » au fond de la salle ?
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