C’était le 31 juillet. Douste-Blazy chantait à Beyrouth la "forte convergence" entre les plans libanais et français. Avant-hier, il appellait le Liban et les autres pays arabes "à faire preuve d’un esprit de responsabilité".
Entre le marteau américain et l’enclume arabe, Douste peinait péniblement, hier soir, sur FR3, pour répondre à la journaliste qui l’interviouvait, pourtant d'une rare obligeance.
Les affaires du Liban lui restaient apparemment étrangères, à nous aussi qui voyons mal dans quelles eaux navigue le char de l'état.
Qui a dit : Je ne connais pas la clef du succès mais celle de l'échec est d'essayer de plaire à tout le monde ?
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