Le plan d’investissement de Hollande
est une timide resucée du grand emprunt de Sarko, foirade de 40 milliards € que
nous continuons à payer…à crédit quand même.
Les 10 milliards de Hollande, dans les mêmes sempiternels secteurs d’avenir, amènent à pisser contre l’iceberg pour le faire fondre et serviront, comme les précédents, à remplacer les crédits budgétaires défaillants. Prométhéen tour de passe-passe, mec !
Les 10 milliards de Hollande, dans les mêmes sempiternels secteurs d’avenir, amènent à pisser contre l’iceberg pour le faire fondre et serviront, comme les précédents, à remplacer les crédits budgétaires défaillants. Prométhéen tour de passe-passe, mec !
En plus aujourd’hui, t’as rien pour 10
milliards...
Le sursis accordé par Bruxelles à la
France dans le redressement de ses comptes a été présenté par Mosco comme une
grande victoire… grande victoire de Mosco, fallait-il comprendre, bien sûr.
En fait c’est le putain de piège qui
exige des réformes de structures. Or, pour les Socialos, les structures sont
parfaites. Car ils les possèdent toutes : Le parlement, les
régions, les départements,
les grandes villes, toutes et partout où
coule la divine ambroisie des financements, des cumuls et des prébendes. Et la résistance héroïque de Hollande aux changements, c’est la résistance
du chef : je suis le chef donc je les suis dans les vertes prairies de la juteuse démocratie.
On va donc assister, mais ça n’est
pas nouveau, au grand jeu de la réforme qui ne réforme rien, à l’appel des
grands âmes pour rédiger des rapports jamais suivis d’effet mais dont la
rédaction permet de gagner de précieux mois, variations inusables sur les nouvelles technos, la santé, la formation... Reviennent Jospin, Gallois, Attali pour animer le spectacle. Un an c'est vite gagné !
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