L'effort consenti par l'Etat sous la forme d'une baisse des taxes sur l'essence est supérieur à 300 millions d'euros et sera compensé par redéploiement budgétaire. C'est la formule qui ne veut rien dire, il n'y a plus rien à redéployer, et bravo pour la dette.
Tout ça pour une baisse maxi de 6 centimes du litre d'essence, menacée par une prochaine flambée des cours du pétrole et qui de toutes façons va passer inaperçue.
On est loin du blocage du prix de l'essence promis par les pieds nickelés de la campagne.
Hé les gars, on arrête de faire joujou avec des couillonnades et on s'y colle sérieux ?
P.S. J'ai quand même l'impression que la bande d'énarques socialo qui s'est emparé du pot à confiture et couche avec le gardien du trésor applique les recettes en vogue à l'ENA en 1970.
Back to the future.
Demain c'est 1936 !
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